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Dans le cadre des « Etats généraux du travail », le CEPAG a organisé une matinée de réflexion et d'échanges sur la question de la précarisation du travail. La question posée était celle-ci : « Individualisation, « crise », mise en concurrence des travailleurs, exigences de rentabilité liée à la compétitivité, diktat des actionnaires… Tout contribue à rendre le travail de plus en plus précaire, mettant les travailleurs dans une insécurité sociale et financière permanente.
Quelles conséquences pour le monde du travail et pour la société dans son ensemble ? »


Invité à proposer une analyse critique de l’ensemble du travail des intervenants en partant du point de vue de son choix, Jean Blairon a choisi d’investiguer l’hypothèse d’une précarisation des luttes à propos du travail. C'est, en suivant les analyses des acteurs eux-mêmes, se demander dans quels faits de structure ils pouvaient être pris et comment ces faits de structure pouvaient, le cas échéant, produire des effets sur leurs analyses et prises de position et, au-delà, sur leur capacité d'action. Pour ce faire, Jean Blairon tente de réaliser ce que les sociologues de l’innovation nomment un « investissement de forme », soit un effort pour réduire la complexité, pour permettre aux acteurs de mieux l'appréhender via un « intermédiaire » (en l'occurrence un texte), qui peut circuler dans des environnements divers et « représenter », certes imparfaitement, la complexité à laquelle tous sont confrontés.

Dans l’attente de la publication, l’analyse est disponible sur demande : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..*

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